Alex Cecchetti's works are often inspired by a poem. Such is the case with MUSIC-HALL, a work acquired by the Frac in 2021, since its point of departure is Kubla Khan by Samuel Taylor Coleridge (1772-1834). In this poem, the poet and founder of the English Romantic movement imagines music capable of building an entire palace, complete with gardens, fountains, grottoes and rivers.
Avec MUSIC-HALL, Alex Cecchetti, qui intègre régulièrement la musique à ses oeuvres, propose au public un environnement immersif où chacun, de son corps, pourra donner vie à un concert : « L’espace qui vous entoure est ici transformé en instrument de musique, et lorsque vous traverserez l’espace (…), votre mouvement produira des notes de la gamme pentatonique chinoise.
La musique de votre corps se joue à partir du cône de cuivre qui flotte sur votre tête : une sorte de thérémine gigantesque qui transforme l’espace en champ musical. Le long du mur, vous pouvez voir cinq aquarelles, ce sont des vues du palais de la musique, et leurs positions respectives marquent les cinq “notes” pures du pentatonique chinois. Il semble que ce soient les notes qui ont créé le monde. Utilisez votre corps pour faire votre propre musique. »
Alex Cecchetti est artiste, poète, jardinier et chorégraphe. Difficile à classifier, son travail peut être considéré comme l’art de l’irreprésentable : tactile et poétique, esthétique et matérialiste, il crée des environnements mentaux et physiques dans lesquels les spectateurs font souvent partie de l’oeuvre. Invités à marcher en arrière dans un jardin, ou à dormir au son d’un choeur chantant dans les profondeurs de l’océan, ou en prenant des cours de danse avec des pierres, les spectateurs ne sont plus réduits au rôle d’observateurs.
Il considère ces expositions comme des célébrations de la nature et ces performances comme des incantations. L’artiste est décédé pour la première fois en 2014 pour des raisons inconnues, bien qu’il continue de produire de nouvelles oeuvres, de présenter de nouvelles performances et de publier de nouveaux poèmes.
La musique de votre corps se joue à partir du cône de cuivre qui flotte sur votre tête : une sorte de thérémine gigantesque qui transforme l’espace en champ musical. Le long du mur, vous pouvez voir cinq aquarelles, ce sont des vues du palais de la musique, et leurs positions respectives marquent les cinq “notes” pures du pentatonique chinois. Il semble que ce soient les notes qui ont créé le monde. Utilisez votre corps pour faire votre propre musique. »
Alex Cecchetti est artiste, poète, jardinier et chorégraphe. Difficile à classifier, son travail peut être considéré comme l’art de l’irreprésentable : tactile et poétique, esthétique et matérialiste, il crée des environnements mentaux et physiques dans lesquels les spectateurs font souvent partie de l’oeuvre. Invités à marcher en arrière dans un jardin, ou à dormir au son d’un choeur chantant dans les profondeurs de l’océan, ou en prenant des cours de danse avec des pierres, les spectateurs ne sont plus réduits au rôle d’observateurs.
Il considère ces expositions comme des célébrations de la nature et ces performances comme des incantations. L’artiste est décédé pour la première fois en 2014 pour des raisons inconnues, bien qu’il continue de produire de nouvelles oeuvres, de présenter de nouvelles performances et de publier de nouveaux poèmes.