Et si la photographie n’était plus un simple regard, mais une manière de repenser le monde ?
"Structures en dérive", neuf artistes aux pratiques photographiques et transdisciplinaires qui font de l’image un espace de mouvement, de doute et d’expérimentation.
Le travail de Mariejon de Jong-Buijs, fondé sur le processus, puise son inspiration dans la tradition de la peinture de paysage néerlandaise – une inspiration à la fois physique, née de son expérience de travail dans des fermes, et visuelle, nourrie par une immersion prolongée dans l’histoire du genre.
Ses toiles de grand format se caractérisent par l’usage de couleurs saturées, de formes géométriques, de motifs répétitifs et par des pliages du support. Son œuvre explore une forme d’abstraction conjuguée à un minimalisme géométrique.
Pour l’exposition, elle présente pour la première fois une œuvre photographique: une installation in situ composée de 730 photographies, qui aborde dans ce nouveau médium les thèmes du processus et de la perception, déjà au cœur de sa peinture.
"Structures en dérive", neuf artistes aux pratiques photographiques et transdisciplinaires qui font de l’image un espace de mouvement, de doute et d’expérimentation.
Le travail de Mariejon de Jong-Buijs, fondé sur le processus, puise son inspiration dans la tradition de la peinture de paysage néerlandaise – une inspiration à la fois physique, née de son expérience de travail dans des fermes, et visuelle, nourrie par une immersion prolongée dans l’histoire du genre.
Ses toiles de grand format se caractérisent par l’usage de couleurs saturées, de formes géométriques, de motifs répétitifs et par des pliages du support. Son œuvre explore une forme d’abstraction conjuguée à un minimalisme géométrique.
Pour l’exposition, elle présente pour la première fois une œuvre photographique: une installation in situ composée de 730 photographies, qui aborde dans ce nouveau médium les thèmes du processus et de la perception, déjà au cœur de sa peinture.
